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11 PREVISIONS AVEREES DE 1982 A 2024
Le Maître AIVANHOV expliquait le sens initiatique de son nom :
« D’ailleurs le nom que l’on m’a donné dans l’Inde, OMRAAM, correspond à ces deux processus
« Solve » et « Coagula » des alchimistes.
OM dissout les choses, les rend subtiles RAAM les matérialise, les concrétise.
Le nom OMRAAM est donc le symbole de tout processus de concrétisation : l’idée invisible, impalpable qui doit s’incarner sur la terre pour que le monde entier puisse la voir, la toucher »
Pendant mes nombreux séjours d’été au BONFIN, nous avions l’habitude de monter sur une éminence rocheuse ouverte sur l’Esterel, qui est devenue « le ROCHER DE LA MEDITATION ».
Nous y montions tous les matins avant le lever du Soleil afin de bénéficier des premiers rayons, en présence du « PRANA » riche à cette heure matinale.
Quand il était le disciple du Maître Peter DEUNOV en Bulgarie, Mikhael IVANOV avait expliqué dès l’âge de 17ans, qu’il éprouvait un immense besoin d’être guidé sur le chemin de la « LUMIERE » représentée avant tout par LE SOLEIL.
Ensuite, le Maître AÏVANHOV dira :« Derrière la LUMIERE du SOLEIL, il y a LA LUMIERE DE DIEU. »
Son travail en France de 1937 à 1986 a consisté à conduire chacun de ses disciples vers LA LUMIERE DE DIEU en fuyant les tentations et les souffrances des TENEBRES.
Bien avant lui, vers le 5ème millénaire avant J.C, le RIG-VEDA en Inde évoquait le soleil à l’époque védique sous les noms de SURYA, SAVITRI et PUSHAN. L’astre doré représentait pour le peuple védique un symbole de la voie vers le DIVIN. Pour eux l’esprit solaire était « DIEU DES DIEUX »
Le philosophe américain Georg FEUERSTEIN, historien des religions et auteur de nombreux ouvrages sur le Yoga s’est intéressé à l’enseignement du Maître AÏVANHOV à tel point qu’il a pris la peine de lire les 300 livres qui reprennent les quelques 5.000 conférences du Maître surtout en France où il a créé deux centres qui existent toujours à Sèvres et au « Bonfin » au-dessus de Fréjus dans le Var. Il avait aussi donné de nombreuses conférences surtout en Suisse, au Canada et aux USA.
Dans son livre « La Vie et l’Enseignement d’Omraam Mikhael AÏVANHOV ou Le Mystère de la LUMIERE » Editions PROSVETA (1996), Georg FEUERSTEIN explique :
« Les RISHIS étaient des visionnaires avant d’être des penseurs. Ils étaient des PROPHETES, comme l’affirme l’UPANISHAD BRIHAD ARANYAKA (V.14.4) composé vers les débuts du 1er millénaire av. J.C.»
« En vérité, la vérité, c’est de voir » (« cakshur vai satyam »)
AÏVANHOV était un tel prophète.
C’est en vertu de sa propre expérience spirituelle et d’après sa capacité de lire ce qu’il appelle le « LIVRE DE LA NATURE » qu’il a découvert, comme les rishis avant lui, un grand secret dans le soleil. »
Un Dimanche de Pâques des années 80, je séjournais à la FBU du BONFIN dans le Var à la fin de la vie du Maître AÏVANHOV. Une grande sérénité et un calme absolu régnait dans la salle de réunions où il réalisait avant le déjeuner une conférence devant environ 900 personnes, lors que j’ai aperçu une grande AURA ensoleillée entourant tout son corps.
J’avais entendu dire que les auras apparaissent autour de la tête. Mais c’est autour du corps tout entier du Maître AÏVANHOV que j’ai pu admirer une lumière brillante entourant ses vêtements blancs comme neige.
Il y a environ 4.500 ans, les Egyptiens vénéraient déjà le soleil ATON dès les débuts de l’ère pharaonique sous la dynastie du PHARAON AKHENATON
AMENOPHIS IV ou AKHENATON ordonna dès l’âge de 10 ans la construction d’un temple consacré à ATON. Les adorateurs de AMON s’opposèrent au pharaon. L’adoration de la déité solaire RA s’unifia à celle de la déité AMON qui devint AMON-RA.
Le pharaon AKHENATON ne vécut pas longtemps car il était épileptique, mais il chercha à remplacer le panthéon des dieux et des déesses par son nouveau monothéisme solaire.
Le Maître AÏVANHOV connaissait les enseignements ésotériques et le GNOSTICISME en particulier.
Dans ce mouvement religieux, la CONNAISSANCE ou la GNOSE séparait LE BIEN du MAL.
Les manuscrits des ESSENIENS de la Mer Morte trouvés dans une grotte en 1947 font référence à DIEU COMME LUMIERE. Ils se nommaient « fils de la LUMIERE » devant lutter contre « les fils des TENEBRES »
a.Si le Prophète MAHOMET au 6ème Siècle a choisi le VENDREDI pour le culte de l’ISLAM, VENUS préside aux célébrations.
En effet, VENDREDI se dit en Latin VENERIS DIES ou le JOUR de VENUS
Comme VENUS est le symbole de la beauté de la créativité, de la femme, on comprend pourquoi des voiles parent les cheveux des femmes. On en conclue que ces voiles servent à mettre en valeur la beauté féminine et non pas à « cacher leurs cheveux ».
On constate que l’ISLAM a choisi le VERT, la couleur de VENUS et l’emblème de la LUNE, les deux planètes FEMININES, et que curieusement ce sont les hommes et la guerre qui dominent les sourates du CORAN.
b.Si MOÏSE et le peuple Juif ont choisi le SAMEDI pour le Culte ISRAELITE dans les synagogues, SATURNE préside aux célébrations.
En effet, SAMEDI se dit en Latin SATURNIS DIES ou le jour de SATURNE.
Comme SATURNE représente la loi, la règle, les convenances venant du passé, en relation avant le PREMIER TESTAMENT, nul n’est étonné de la couleur noire des vêtements des RABBINS.
c.Si le CHRIST et les Chrétiens ont choisi le DIMANCHE pour le Culte CHRETIEN, le SOLEIL préside aux célébrations.
En effet, le DIMANCHE se dit en Latin DOMINI DIES ou le JOUR du SEIGNEUR
Et en ANGLAIS SUNDAY est le jour du SOLEIL.
Personne n’est étonné que le SOLEIL représente le CHRIST qu’on appelle « SEIGNEUR »
Et le CHRIST lui-même répond à St THOMAS : « Quand tous les élus auront quitté l’état animal, alors la LUMIERE remontera vers sa substance, et sa substance la recevra en elle, car elle est un bon serviteur ».
SAINT FRANCOIS D’ASSISE dans son célèbre « CANTIQUE DU FRERE SOLEIL » chantait :
« Loué sois-tu Seigneur,
Dans toutes les créatures
Spécialement Messire Fère Soleil
Par qui tu nous donnes le Jour, la Lumière ».
Mais il offre une interprétation symbolique et audacieuse des pratiques et du dogme de l’Eglise actuelle. Il était attentif à suivre l’enseignement du CHRIST dans le respect des autres et la nécessité d’être charitable. Mais il faisait remarquer que le CHRIST croyait à la réincarnation.
En effet, dans les évangiles actuels de l’église catholique, deux évangiles indiquent que le Christ croyait à la REINCARNATION
En particulier, dans un évangile, le Christ demande à la petite fille aveugle :
« Pourquoi es-tu aveugle ? Est-ce de ta faute ou celle de tes parents ? »
Pour que la petite fille ou ses parents aient commis des fautes, ils ont dû vivre dans des vies antérieures !
En effet, il aimait rappeler qu’au 6ème siècle, l’impératrice Théodora ayant eu beaucoup de sang sur les mains, ne désirait pas revenir sur terre. Après avoir fait trancher le cou de trois Papes successifs qui n’avaient pas voulu accéder à ses demandes, les cardinaux ont fini par accepter
« La Non-réincarnation » : ils ont signé.
On dit que les religieux recevaient alors des aumônes de la part des chrétiens voulant monter au Ciel, afin que les prêtres prient pour eux.
Par la suite, si l’église chrétienne n’a jamais remis la réincarnation au goût du jour, on dit que ce serait à cause des aumônes que les prêtres recevaient : aucune raison ne les justifiait plus si chacun devait revenir sur terre pour payer les fautes de ses vies antérieures.